Le cours s’est inscrit dans le prolongement de la réflexion engagée l’an passé sur les contours d’une possible connaissance métaphysique de la nature. Il s’agissait d’en approfondir l’examen, de tester le modèle proposé, en l’appliquant à certaines caractéristiques faisant entrevoir que la réalité se laisse découper ou est déjà découpée ( ?) en « espèces » ou « sortes » naturelles de choses. « Eau », « or », « chat », « voiture » semblent correspondre à des articulations plus naturelles des choses que « être plus grand qu’une voiture » ou que « boisson alcoolisée ». Mais est-ce aussi sûr ? Et à quoi correspondent ces classifications ? Sont-elles déjà là dans la nature où sont-elles le simple fruit de nos actions sur elle ?
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Cours
Métaphysique des espèces naturelles
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