Salle 2, Site Marcelin Berthelot
En libre accès, dans la limite des places disponibles
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  • L’archéologie de la Querelle des universaux en seize points
  • Comment introduire de l’intelligibilité en histoire des idées sans reconduire les diverses mythologies que l’on retrouve à l’œuvre dans la lecture d’un Cousin ou d’un Gerando ? De quoi va-t-on faire l’histoire, si l’on ne fait pas l’histoire du conceptualisme ou du nominalisme tels que compris dans l’horizon historiographique cousinien ?
  • Retour à la confrontation entre le questionnaire original de Porphyre et le questionnaire de Proclus sur le mal
  • Échangeurs conceptuels et nouveaux parcours
  • L’étude de la distinction entre l’épinoia et la psile epinoia, ouvre sur l’histoire des objets imaginaires, sur les problèmes de la référence vide, sur les questions du rapport entre universel, néant et fiction, et par là sur le rôle du stoïcisme dans la « geste de l’universel »
  • Le questionnaire de Porphyre, construit sur une première question — les universaux sont-ils de vrais êtres ou des concepts vides ? – organise, sur la base d’un chiasme entre êtres et concepts, la confrontation du concordisme aristotélico-platonicien avec le Portique
  • Examen des thèses stoïciennes sur l’universel
  • Le témoignage du Commentaire d’Origène sur l’Évangile de Jean
  • L’exégèse de Jn 1, 3 (Toutes choses furent par lui (Πάντα δι’ αὐτοῦ ἐγένετο), et sans lui rien ne fut (καὶ χωρὶς αὐτοῦ ἐγένετο οὐδὲ ἓν)
  • Deux thèses sur le mal : « le mal n’a pas d’hypostase », « le mal est un non-quelque chose »
  • La distinction stoïcienne entre néant et non-quelque chose
  • Ontologie et tinologie
  • Deux positions possibles :
    • les universaux ont le même statut que les fictions
    • Les universaux n’ont pas même le statut des fictions
  • Retour au tragelaphos, et à la distinction entre psilê epinoia et epinoia, bouc-cerf et universel abstrait.