Salle 2, Site Marcelin Berthelot
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  • Les deux outils de l’archéologue du sujet : subjectité et attributivisme* 
  • Heidegger. La Subiectität est ce qui caractérise et définit l’ὑποκείμενον ou le subiectum en tant que tels : la sub-stantialité 
  • La « subjectivité » (Subjektivität) de la métaphysique moderne est un « mode de la subjectité » (Subjectität) : l’application au psychique du modèle physique de la portance/permanence substantielle 
  • L’attribute-theory est une théorie de l’inhérence de l’esprit au corps, à titre de disposition ou de propriété dispositionnelle 
  • L’attributivisme* désigne toute doctrine de l’âme et de la pensée reposant sur une assimilation explicite des états ou des actes psychiques à des attri­buts ou des prédicats d’un sujet défini comme ego 
  • La « naissance du sujet » est marquée et structurellement définie par la rencontre de la sub-jectité avec l’attribute-theory et l’« attributivisme* » 
  • L’archéologie du sujet montre, contre Heidegger, que ce n’est pas chez Descartes que, pour la première fois, subiectum et ego, subjectité et égoïté (Ichheit) acquièrent une signification identique 
  • Augustin formule et rejette originairement l’attributivisme* : l’âme n’est pas le sujet des actes/états mentaux 
  • Le modèle périchorétique du psychique : Augustin et Jean de Damas 
  • Immanence mutuelle et théorie stoïcienne du mélange 
  • Parasitage et fusion des modèles attributiviste* et périchorétique au Moyen Âge 
  • Le modèle attributiviste* olivien, la critique kantienne de la psychologie rationnelle et la critique nietzschéenne des postulats logico-métaphysiques de Descartes : essai de synthèse 
  • Thomas d’Aquin et le principe épistémique de « connaissance de l’âme par ses actes » 
  • Le sujet selon Thomas
  • Olivi contre Thomas : un paradigme médiéval 
  • Les trois modes de la connaissance selon Matthieu d’Acquasparta