Salle 2, Site Marcelin Berthelot
En libre accès, dans la limite des places disponibles
-
  • Stewart critique de Reid
  • Le scénario de Stewart
  • Le réalisme professé jusqu’au XIe siècle est aristotélicien : c’est le réalisme des fomes « immergées dans la matière » (réalisme de l’immanence)
  • Roscelin rompt le consensus réaliste en introduisant une doctrine nouvelle héritée de Zénon, que reprend et développe Abélard
  • Pour Stewart, l’« École de Zénon » est l’ancêtre de la position nominaliste médiévale
  • Les deux thèses nominalistes de Roscelin et Abélard
  • Le conceptualisme comme déviation du nominalisme
  • Les deux thèses conceptualistes
  • Le point central : l’esprit peut raisonner sur les genres et les espèces sans passer par la médiation du langage
  • Stewart s’avoue embarrassé par une position qu’il ne comprend pas
  • Stewart classe Locke et Reid chez les conceptualistes
  • Le topos des « trois familles du nominalisme » médiéval
  • Les sources de Stewart : l’Historia critica philosophiae de Brucker, le Polyhistor de Daniel Morhof
  • Apparition du mot « conceptuales » (« conceptualistes ») sous la plume de Brucker
  • Analyse de textes de Brucker : parallélisme entre les « sectes » médiévales et les écoles de Platon, Aristote et Zénon. Théorie des trois états de l’universel, et « retour du stoïcisme »
  • Termes utilisés par les réalistes dans les polémiques avec les nominalistes (tyrones, verbales, terministae)
  • Premier contact avec Morhof. Son embarras face au « conceptualisme »
  • Son influence sur Stewart
  • Gérando critique de Stewart
  • Le scénario de Gérando
  • Après le nominalisme radical de Roscelin, il y a eu deux sectes de nominaux, les uns qui, avec Abélard, proches d’Aristote, accordaient à l’universel un « fundamentum in re » ; les autres, les « conceptualistes », qui, abandonnant la thèse d’Abélard, ont choisi la voie du concept
  • Examen critique des sources de Gérando, de Jean de Salisbury à Morhof.

Événements