L’eau en droit international : entre singularité et pluralité
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L’eau en droit international : entre singularité et pluralité

Éditions du Collège de France
Édition numérique

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Essentielle à la vie et à l’activité humaine, l’eau douce devient une préoccupation en droit international. Sa réglementation, d’abord consacrée aux fleuves partagés entre plusieurs États, s’est peu à peu infléchie vers d’autres sources d’eau. Aujourd’hui, sa raréfaction, la nécessité d’une répartition durable de ses usages, son utilisation comme arme de guerre, sa vulnérabilité face à la dégradation de l’environnement ou encore la prévention des différends sont autant d’enjeux qui appellent à une mobilisation et à un renforcement du droit international.

Laurence Boisson de Chazournes est professeure de droit international et de droit des organisations à l’université de Genève. Investie en tant qu’experte dans de nombreuses instances officielles, elle exerce également comme arbitre et avocate auprès de la Cour internationale de justice. Elle est professeure invitée au Collège de France sur la chaire annuelle Avenir commun durable (2022-2023), créée avec le soutien de la Fondation du Collège de France et de ses grands mécènes Covéa et TotalEnergies.

ISBN
978-2-7226-0638-8
Number in collection
317
Publication date
Language
français
Distribution
OpenEdition
Format
Édition numérique

Table of contents

Thomas Römer : Préface

Laurence Boisson de Chazournes : L'eau en droit international : entre singularité et pluralité