La présentation comprend 57 diapositives incluant deux petits films.
Elle s’attache à décrire tout d’abord la spécificité du contexte géologique de la Nouvelle Calédonie ayant abouti à la formation des gisements de nickel oxydé actuellement exploités.
Ensuite, un rapide panorama des applications du nickel est balayé pour en venir à la répartition mondiale de la ressource et à la place toute particulière que tient la Chine dans le marché mondial de ce métal. Le poids du nickel dans l’économie calédonienne est également précisé.
Vient ensuite le déroulé des approches « développement durable » dans le processus minier avec la géophysique , la prospection et les sondages héliportés , les verses destinées à être ré-exploitées, les approches de projet minier avec un phasage de l’ouverture à la fermeture, les verses à stériles géantes, l’adéquation entre engins mobiles avec le « dispatch » (film) , les convoyeurs de chargement en mer, l’apport de la minéralurgie en matière de préservation de la ressource via les unités d’enrichissement des saprolites , les procédés de revégétalisation, la politique de conservatoire pour les zones à fort potentiel de biodiversité, l’encadrement de certaines de ces techniques par des guides de bonne pratique.
La deuxième partie de la présentation s’attache à décrire la valorisation de la ressource par des procédés métallurgiques divers et variés en fonction de son positionnement dans le profil d’altération.
C’est ainsi que sont décrits trois procédés pyrométallurgiques (dont un film pour le procédé RKEF (Rotary Kiln Electric Furnace) et quatre procédés hydrométallurgiques avec un comparatif en matière de bilan carbone.
Sont ensuite abordées les délicates questions des relations entre les équipes projet (conception) et les exploitants.
Le volet social n’est pas oublié avec quelques exemples en matière de RSE et surtout un volet formation des hommes (et des femmes) via un exemple sans équivalent.
La présentation se termine avec un débat sur les principes de gouvernance de la ressource.