
Juliette combine des approches de génétique moléculaire et d’imagerie pour étudier l’abscission, dernière étape de la division cellulaire qui permet de séparer physiquement deux cellules filles chez la drosophile. Après une thèse réalisée à l’École normale supérieure et un premier stage postdoctoral au Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL), elle rejoint l’équipe de Jean-René Huynh, directeur de recherche CNRS, au sein de laquelle elle est recrutée en tant que chargée de recherche CNRS. Son travail a permis d’identifier de nouveaux acteurs moléculaires régulant l’abscission dans la lignée germinale de drosophile et dont la fonction est conservée dans des cellules humaines.