Résumé
Certaines langues n’ont pas d’infinitif ; d’autres posent le sujet à la fin de leur phrase ; d’autres encore n’ont rien pour dire le verbe être. Si l’on regarde l’Univers et son évolution comme un langage, serait-il plus juste d’entendre la langue qu’il parle ? Ou plus juste de lire le texte qu’il écrit ? Et dans un cas comme dans l’autre, quelle en serait sa grammaire ? Et de quelle manière arrive-t-on à lire ou à entendre ? De quels outils dispose-t-on ? En quoi les mystères qui entourent l’origine de cette écriture peuvent éclairer les raisons pour lesquelles l’écriture se dérobe toujours à l’ombre d’un mystère ?