Les enseignements ont porté sur des documents antiques comme « La mise en scène autobiographique du principat augustéen » (les Res Gestae Diui Augusti) et les « Questions romaines de Plutarque », ou alors sur un thème historique et archéologique comme « une Promenade imaginaire dans la vieille Rome ». D’autres cours étaient consacrés à des éléments de la religion romaine : « Religion et politique au début de l’Empire » ; « La vie religieuse dans les quartiers de la Rome impériale » ; « Religions et communautés dans les quartiers de Rome » ; « Sacrifier à l’empereur, sacrifier pour l’empereur. Le culte des empereurs sous le Haut-Empire romain » ; « Le culte des eaux et des sources dans le monde romain » ; « Iusta facere. Le culte des morts dans l’Italie antique et les provinces septentrionales de l’Empire » ; « La religion dans Tite-Live » ; « Dieux de Rome, dieux des Romains. Réflexions sur les théologies romaines » ; « Privatim deos colere. Réflexions sur les cultes privés à Rome et dans le monde romain occidental ». Enfin le cours a également examiné des questions sociales (« La cité, l’individu, la religion »), ou topographiques (« Le suburbium. Recherches sur l’organisation religieuse du territoire de Rome »).

Les séminaires ont essentiellement porté sur des sanctuaires et des cultes en Italie et dans le monde romain et à la notion de paysage religieux (huit séminaires). Deux séminaires ont porté sur les rites funéraires et les nécropoles. D’autres séminaires examinaient des détails d’un texte antique (Res Gestae Diui Augusti), les cultes pérégrins ou l’œuvre d’un chercheur (G. Marini), la notion de travail, et le système des auspices.