Cicéron observait que « par le travail de nos mains, nous essayons de créer, dans la nature, comme une seconde nature ».
À l’aune de l’histoire juridique, littéraire et philosophique de l’Antiquité, le cours de cette année invite à explorer les ressources et les limites de la tradition romaine pour répondre aux défis d’une transition juridique indispensable à la transition écologique. Saisir, à travers leur pensée même, comment les Romains appréhendaient leur rapport au monde, foncièrement anthropocentrique, permettra de prendre conscience des sédiments et des éléments implicites laissés par cette culture antique dans la pensée actuelle.
→
Cours
Droit de nature, nature sans droits. Les implicites romains de la pensée moderne
→