Transcription et représentation

I. Introduction


  • l'importance de l'ordinateur ;
  • l'industrie des instruments modernes ;
  • systèmes descriptifs (logiciel WORD + orthographe) ;
  • systèmes intelligents (logiciel WORD + syntaxe + grammaire) ;
  • symbole (Bach) et son (Ligeti).

II. Concepts

  • représentation historique : fonctions de pression → pensée ;
  • représentation et perspective ;
  • structure de données
 ;
    • structuration simple (variables, tableaux, etc.) ;
    • structuration complexe (orienté objet) ;
  • paradigme ou modèle conceptuel ;
  • calcul fonctionnel (transposition, Bartok) ;
  • calcul par contraintes (fugue, contrepoint, écriture obligée).

III. Applications


  • contexte temps différé/temps réel.

Outils pour la représentation

Utilisation musicale

  • composition ;
  • analyse ;
  • exécution ;
  • édition.

Structure de données

a) Eléments de base


  • mémoire, variable, adresse/pointeur.

b) Simple


  • array (tableau) ;
  • list (liste) ;
  • record, structure (c.f. frames) ;
  • stack (pile) (LIFO : last in first out (pile)) ;
  • queue (FIFO : first in first out (tuyau)) ;
  • arbre ;
  • 
graphe.

c) Complexe (les langages objets)

  • encapsulation ;
  • 
méthodes ;
  • 
messages ;
  • classe ;
  • sous-classe ;
  • super-classe ;
  • héritage (simple, multiple).

Principes d'écriture de Dialogue de l'ombre double

La transcription dans le temps

  • la transcription :
    • n'est jamais directe ;
    • est comme une ligne déformée par un champ ;
    • c'est toujours l'adaptation à un paradigme disponible ;
    • transcription, implémentation et portage.

Dialogue de l'ombre double : principes sur le plan technologique

  • les deux problèmes : déclenchement et contrôle de niveau ;
  • les informations sur les deux pistes (musique et code) ;
  • code SMPIE ;
  • le code MIDI (note-on, program change, les contrôleurs) ;
  • le VCA et le fonctionnement de la spatialisation en général ;
  • la disposition des HP ;
  • les différents cas de figure de spatialisation dans Dialogue ;
    • un niveau discret (Sigle initial v.r.) ;
    • deux niveaux discrets (Transition 1 à 2 v.r., petites notes) ;
    • un niveau dynamique (Transition 3 à 4 v.r., son tournant) ;
    • deux niveaux discrets dynamiques (Sigle final v.r.).

Dialogue de l'ombre double : les transcriptions depuis la création

  • version IRCAM ‡1 (manuel)
  • version IRCAM ‡2 (Matrix 32 + programmes C)
    • la Matrix 32 switch et VCA ;
    • la programmation C : données, déclenchement, séquenceur.
  • version IRCAM 3 (Matrix 32 + Max + QSheet)
  • la programmation de MAX (langage, objets, messages)
  • principes de QSheet (post production cinéma)
    • le modèle (paradigme) du cinéma et vidéo ;
    • piste, image (frame).
  • version Chicago ‡1 (Sandroff et Yeh) (Yamaha + Vision)
  • 
le DMP11 : mixage contrôlé par MIDI
  • 
le séquenceur Vision
 (cette version a servi pendant deux ans)
    • le modèle (paradigme) du magnétophone et disque ;
    • les séquenceurs :
      • conductor piste,
      • piste normale,
      • les sous séquences,
      • les pistes de contrôle continu,
  • version Chicago 2 (Sandroff et Yeh) (Yamaha + Studio Vision + Digidesign Sound Tools + carte Sound Accelerator)
    • (le DMP11 : mixage contrôlé par MIDI) ;
    • le séquenceur Studio Vision (séquenceur + fichiers son) ;
    • préparation des fichiers avec sound designer.
  • version IRCAM ‡4 (Matrix 32 + Max + Studio Vision + Digidesign Sound Tools + carte Sound Accelerator)
    • Sound Designer pour les cues ;
    • (la Matrix 32 switch et VCA) ;
    • [la programmation de MAX (langage, objets, messages)] ;
    • le système Sound Designer.
  • version IRCAM ‡5 (Yamaha console numérique DMC100 Studio Vision + Digidesign Sound Tools + carte Sound Accelerator)
    • console numérique DMC100 (contrôle MIDI) ; enveloppes ;
    • (la programmation de MAX (langage, objets, messages)) ;
    • le système Sound Designer.

Répons : le cas des modèles mathématiques

  • le frequency shifter (unité de traitement)
    • fonction technique, dans l'œuvre ;
    • description et fonctionnement technique.
  • le patch (configuration d'unités de traitement)
    • origine du modèle ;
    • l'implémentation 4X.
  • la configuration des connections (application bijectif)

Explosante-Fixe : le cas des adaptations spécifiques

  • les sons en boucle (Max + enveloppes AKAI)
    • programme dans Max ;
    • les enveloppes AKAI (quelle échelle dynamique ?) ;
    • dynamique : la vélocité et les contrôleurs MIDI ;
    • les pièges de l'adaptation pour le compositeur.
  • Prémices pour rendre une transcription possible
    • concepts et méthodes
      • concis, élégants (modèle mathématique ?),
      • consensus,
      • critères exécution standardisés,
    • notation
      • incorporation dynamique du vocabulaire,
      • structuration,
      • expression,
      • capable d'être soumis au calcul
  • Processus déterministes, aléatoires
  • Processus réels, virtuels.