Les décroissantistes et les techno-optimistes divergent radicalement dans l’évaluation des capacités de la science à réduire massivement les coûts de la décarbonation de nos économies. Faut-il faire confiance aux progrès scientifiques pour retarder nos efforts dans l’attente de l’émergence de technologies de décarbonation peu chères ? Ou l’urgence et la prudence doivent-elles nous obliger à agir tout de suite quel qu’en soit le coût social ?
10:00 à 11:00
Cours
Incertitudes technologiques majeures pour l'objectif 2° C
Christian Gollier